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L’imposture du New âge ... [ illuminati conspiracy ]







L’origine du Nouvel Age


Les manipulations


de la Grande Loge Blanche




Le Nouvel Âge est une idéologie qui est apparue à la fin du 19ème siècle, au moment où l’humanité touchait le fond du matérialisme. L’impulsion vint essentiellement d’Helena Blavatsky, fondatrice de la Société Théosophique qui devint la matrice idéologique dont sont issus nombre de mouvements spirituels. A travers l’action de cette visionnaire inspirée, les ondes de l’ère du Verseau commençaient à se déverser sur la Terre. Ils s’amplifièrent au cours du 20ème siècle où beaucoup ressentirent l’appel à un changement intérieur.

Mais cette impulsion – propre à l’influence de la planète Uranus – peine à s’exprimer dans un monde qui idéalise la vie matérielle et qui attend un sauveur qui réglerait nos problèmes à notre place…

Une compréhension juste du Nouvel Âge impose d’en exposer les racines historiques.

A ses débuts, le mouvement Théosophique fut inspiré par de mystérieux « Maîtres de Sagesse » dont le chef se faisait appeler Maitreya, d’après le nom que les bouddhistes accordent au « Bouddha du futur ». Cela donna naissance au mythe des « Maîtres de la Grande Loge Blanche » qui devint la référence des cercles spiritualistes.

L’aristocrate russe Helena Blavatsky prétendait avoir rencontré ces personnages mystérieux, quasi immortels, aux confins de l’Inde et de l’Himalaya. Ils l’auraient chargée de diffuser leurs connaissances en Occident, afin de faire barrage au matérialisme.

Selon Blavatsky, il s’agissait d’une rencontre avec des êtres réels et non d’un contact télépathique. Ces initiés n’avaient pas l’intention de se faire connaître publiquement, ni de créer une religion autour de leur image. Aussi, lorsqu’une idolâtrie se manifesta autour d’eux, ils coupèrent le contact. C’est après le retrait de ces instructeurs, que des « entités astrales » usurpèrent leur identité en trompant les médiums qui s’imaginèrent avoir été contactés par de soi-disant « maîtres ascensionnés ».

Les premiers instructeurs de Blavatsky désiraient remettre en circulation des connaissances oubliées afin de compenser les dégâts de la religion décadente autant que de la science matérialiste. Helena Blavatsky créa la Société Théosophique – à partir d’un centre en Inde, pour diffuser ces enseignements qui furent rassemblés dans les six volumes de la Doctrine Secrète. Après sa mort, Blavatsky aurait chargé le clairvoyant Rudolf Steiner de révéler qu’elle s’était désolidarisée de cette Loge Orientale qui l’avait exploitée en raison de ses pouvoirs psychiques exceptionnels. Steiner communiqua le message suivant : « Madame Blavatsky, actuellement désincarnée, me prie de vous dire qu’elle a été trompée par les maîtres de La loge Orientale ».

Il est facile de faire parler les morts, mais quoi qu’il en soit, Steiner rompit avec la Société Théosophique dont il était le secrétaire général en Allemagne.

C’est après la mort de Madame Blavatsky, lorsque Charles Leadbeater et Annie Besant prirent le contrôle de la Société Théosophique, que l’idée d’un retour du Christ se répandit avec succès. Leadbeater, un occultiste chevronné, travaillait pour le compte des loges anglo-saxonnes qui cherchaient une caution religieuse pour établir leur nouvel ordre mondial. Quoi de plus populaire que d’annoncer le retour du Christ ? Quoi de plus séduisant que de prédire un âge d’or en créant ainsi une émulation permettant d’instaurer ensuite l’ordre mondial ?

Vers 1920, les Théosophes projetèrent de passer à l’acte en faisant endosser le rôle de messie planétaire à Krishnamurti, un jeune brahmane du sud de l’Inde, éduqué dans cette perspective en raison de sa pureté. Mais, parvenu à l’âge adulte, Krishnamurti rejeta cette « mission divine » en la dénonçant comme une entreprise politique opportuniste. Jusqu’à son dernier souffle dans les années 80, il mit en garde contre toute référence aux « maîtres », autant qu’aux illusions psychiques dont la quête spirituelle est truffée.

Le programme d’un ordre mondial dirigé par « les maîtres de la hiérarchie planétaire » refit surface dans les années 40 avec Alice Bailey, une médium qui se disait inspirée télépathiquement par un personnage appelé « le Tibétain ». Ce dernier mit en place l’idéologie du nouvel ordre mondial, en prétendant, après la démission de Krishnamurti, que le Christ se présenterait en personne… à la télévision !

Bailey fut la propagandiste du New Age moderne, prédisant l’apparition d’une civilisation où l’énergie nucléaire tiendrait lieu d’énergie divine ! ( « Extériorisation de la Hiérarchie »)
Prédicatrice chrétienne de formation, Bailey a assumé avec zèle sa mission d’annoncer le retour du Christ, alors que Krishnamurti pressenti pour jouer ce rôle, affirma, en connaissance de cause, qu’il s’agissait d’un leurre politique.

Au sujet de l’annonce du retour du Christ, on réalise que le « faux prophète » du Livre de l’Apocalypse – l’Antéchrist – ressemble étrangement au sauveur mondial du New Age.

A la suite d’Alice Bailey, nombre de médiums, illusionnés par des entités lumineuses de la dimension astrale -la sphère du mirage- se croiront en contact direct avec Jésus, Bouddha ou un initié d’un rang supérieur. Pourquoi être modeste lorsqu’on peut joindre le Christ chaque matin pour lui demander quel temps il fera ?


Nous voyons que l’impulsion spirituelle lancée par Blavatsky – trop forte pour être assimilée dans toutes ses conséquences – a été récupérée au profit d’une politique menée par ce que Steiner considérait comme des entités rétrogrades- les fameux « esprits lucifériens ».

Pour ceux qui veulent aller au devant d’un véritable nouvel âge intérieur, il s’agit de retrouver l’impulsion favorisant une transformation de l’être – la mutation atomique du corps éthérique. C’est la clé de la civilisation énergétique du futur, laquelle devra être accordée avec les rayonnements de l’ère du Verseau – « l’eau vive » du renouvellement spirituel.
On confond l’ère du Verseau avec l’Âge d’Or. Mais il faut savoir que l’ère du Verseau n’est qu’un épisode à l’intérieur du cycle du Kali Yuga – l’Âge Noir – qui a commencé il y a 5000 ans et qui doit durer… 400 000 ans. En attendant de voir le bout du tunnel, il est toujours possible de s’élever vers un âge d’or intérieur. Car le véritable Âge d’Or s’atteint par la libération hors du temps.

Donc, selon la chronologie de l’Inde, nous sommes seulement en train d’amorcer la descente dans l’âge de fer – le Kali Yuga – cycle de décadence et de matérialisme, ce qui est facile à admettre pour ceux qui ont des yeux pour voir.

Le retour cyclique de l’Âge d’Or aura lieu dans un lointain futur, mais sur une autre dimension que la Terre. Il apparaîtra sur le plan éthérique – le domaine céleste aux « nombreuses demeures ». Nous y vivrons dans des corps immortels et l’ancienne Terre aura disparu. Mais ceux qui veulent croire au mirage d’un Nouvel Âge dans le monde matériel, peuvent toujours attendre… Il n’est pas interdit de rêver, mais on peut aussi choisir de se réveiller.

La paix soit avec vous.

Appel au don : Lepotcommun/soutien/solidarité.

Nanotechnologies ~ Ces redoutables particules toxiques qui envahissent n...



Nanotechnologies  

Ces redoutables particules toxiques qui nous envahissent 

Invisibles à l’œil nu, les nanoparticules envahissent le quotidien, depuis nos vêtements jusqu’à nos assiettes, sans aucun étiquetage ni traçabilité. Malgré les nombreuses études attestant de la toxicité de certaines de ces particules, les gouvernements refusent d’appliquer le principe de précaution et investissent des milliards d’euros en recherche et développement dans les nanotechnologies. Comment repérer et se protéger de ces nouvelles molécules high-tech ? 

Les nanomatériaux sont entrés en catimini dans nos vies, dans les objets du quotidien ou de consommation courante. il s’agit d’une « bombe sanitaire ».

Ces particules de dimension nanométrique posent des problèmes toxicologiques. Leur taille minuscule permet à une grande partie d’entre elles de traverser l’organisme, de se loger dans les cellules et de pénétrer dans les noyaux cellulaires contenant l’ADN. Elles peuvent avoir des effets mutagènes, cytotoxiques, cancérigènes… Certaines sont même neurotoxiques : elles traversent la barrière encéphalique qui protège le cerveau et s’attaquent aux neurones, contribuant au développement de pathologies neurologiques comme la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson. Notre organisme n’est pas fait pour résister à ces nouvelles particules aux propriétés stupéfiantes.

Certaines d’entre elles, les nanotubes de carbone, qui comptent parmi les plus utilisées (dans les textiles, le BTP), entraînent chez les animaux, en laboratoire, le même type de pathologies que l’amiante – des cancers broncho-pulmonaires et des cancers de la plèvre. Et la réaction des nanos au contact de notre organisme est beaucoup plus grande que les particules classiques. Pour couronner le tout, leur toxicité change avec le temps, selon les milieux qu’elles traversent, ce qui ne permet même pas de se rassurer sur les types de nanos qui pourraient actuellement être jugés acceptables.

De quelles manières ces particules envahissent-elles le quotidien ?

Tous les secteurs industriels en utilisent aujourd’hui : agroalimentaire, cosmétiques, textiles, produits d’entretien, médicaments, pesticides, métallurgie, plasturgie, informatique, construction... En 2013, la France a été le premier pays à mettre en place une obligation de déclaration de production et d’importation de nanos. Mais cette déclaration exclut un certain nombre de nanos parmi les plus diffusées. Et beaucoup d’industriels se disent incapables d’identifier si leurs matières premières contiennent ou non des nanos.

Cette opacité et l’absence d’étiquetage des produits conduit à une absence de traçabilité redoutable. L’exposition de la population aux nanos est très supérieure à celle de l’amiante, et il est encore plus difficile de les identifier. Depuis 2008, en France, des centaines de milliers de tonnes de chaque grand type de nanos sont mises sur le marché annuellement. Et cela n’a fait qu’empirer. Avec une traçabilité proche de zéro !

Est-il possible de repérer les aliments qui contiennent des nanos dans les magasins ?

Non, pas de façon certaine, car dans les grandes surfaces, de nombreux produits contiennent des nanos sans qu’on puisse les distinguer. Mais il est possible de réduire le risque d’en manger. Par exemple en privilégiant les circuits courts, les produits bio. Car les nanos concernent avant tout les produits industrialisés : les industriels cherchent à donner à leurs aliments des saveurs et des textures nouvelles, des blancheurs plus accentuées, des effets plus colorés... Les nanotechnologies permettent d’accroître toutes sortes de propriétés, comme la fluidité des yaourts ou les anti-agglomérants dans les poudres de chocolat, de sucre ou de lait, dans les sels de table… Il faut se méfier des conservateurs alimentaires qui contiennent souvent des nanos, ainsi que des emballages. Quand vous achetez par exemple un steak ou un poulet en grande surface, il y a souvent une lingette blanche un peu cotonneuse entre la barquette et la viande. Celle-ci est imbibée de nano-argent pour éviter à la viande de devenir grisâtre et pour lui conserver une apparence de fraîcheur.



Plus on s’éloigne des produits industriels, moins on a de nanos. Mais quelques produits contenant des nanos sont déjà inclus depuis longtemps dans les circuits bio. C’est le cas notamment d’un « médicament », l’argent colloïdal, qui n’est rien d’autre que du nano-argent, généralement vendu en solution liquide. Comme c’est un bactéricide puissant, les gens sont épatés par ses effets cicatrisants quand ils en mettent sur une plaie. Certains pensent se faire du bien en buvant ces solutions. Mais la flore bactérienne est nécessaire pour notre santé, il ne faut surtout pas la détruire ! Les consommateurs doivent être plus vigilants.

Les lobbies industriels veulent limiter le plus possible la définition des nanoparticules...

Plus la définition sera restrictive ou tronquée, plus l’encadrement réglementaire et législatif sera limité. Et plus de nanos échapperont à tout contrôle. Au niveau européen, selon les secteurs et les rapports de force, la définition n’est pas la même. Aujourd’hui, de façon générale, ces lobbies ont réussi à obtenir que les nanos soient définies comme « toute particule de 1 à 100 nanomètres produite intentionnellement ». C’est scandaleux, car la dimension nano va de 1 à 999 nanomètres. Les lobbies dans les commissions ont donc réussi à exclure 90 % des nanos, alors que certaines particules très toxiques mesurent plus de 100 nanomètres !



Mais personne ne vient contester cette définition, sauf quelques associations. Des commissions ont par ailleurs décidé de ne considérer que les nanomatériaux contenant au moins 50 % de nanoparticules. Autrement dit, les produits doivent être au moins composés pour moitié de nanos pour entrer dans le champ réglementaire. Comme s’il n’y avait pas de problème en dessous de ce seuil ! Cela est totalement absurde d’un point de vue toxicologique. Les lobbies manipulent complètement le débat pour exclure du contrôle un maximum de nanos.

Où en est-on dans la bataille de l’étiquetage ?

Sur les cosmétiques, l’obligation d’étiquetage est officielle depuis 2013. Dans les faits, il suffit d’aller dans les magasins pour constater que ce n’est pas du tout respecté. Dans l’alimentation, il devrait y avoir un étiquetage depuis des années. La promesse a été faite de le rendre obligatoire ce mois-ci, en décembre 2014. J’ai bien peur que le lobby agroalimentaire parvienne encore à repousser l’échéance. Toute la question est de savoir ce qu’il y aura sur cet étiquetage. Les politiques, français et européens, avancent que les protagonistes ne sont pas tombés d’accord et qu’ils ne peuvent donc pas légiférer. Les industriels continuent de gagner du temps. Le lobby agro-alimentaire demande même que les nanos mises sur le marché depuis plus de dix ans ne soient pas inclues dans l’étiquetage obligatoire, au prétexte de « ne pas inquiéter inutilement les personnes qui en ont consommés »...

L’enjeu sur l’étiquetage est d’exiger que soit également indiquée la toxicité des nanos. Que le consommateur sache si le produit risque de réduire la fertilité, d’entraîner des cancers, des mutations génétiques... Comme sur les paquets de tabac et les pesticides. Sans cette indication-là, les gens s’en fichent. Le danger doit être annoncé.

Comment réagir face à l’annonce de la ministre de l’Écologie, Ségolène Royal, de demander à l’Union européenne le 17 décembre une stratégie d’étiquetage des produits de consommation courante contenant des nanomatériaux ?

Le gouvernement français, depuis l’arrivée massive des nanos sur le marché, se positionne avant tout en soutien des nanos. Les budgets publics accordés en témoignent : plus d’un milliard d’euros par an de soutien aux producteurs, rien qu’en France... Alors même que la recherche sur la toxicité des nanos représente à peine 1 à 2 % du budget, et que les connaissances toxicologiques acquises ne sont même pas prises en compte !

Malgré la multiplication des rapports alarmants sur les dangers des nanos, rien ne se passe en matière de prévention, et les gouvernements continuent de subventionner massivement les nanos. Comment expliquez ce décalage ?

Chaque gouvernement prend prétexte de la crainte d’être dépassé par les pays concurrents. Le même argument que sur le nucléaire à une époque, ou sur les pesticides dont on voulait nous persuader qu’ils rendaient notre agriculture plus performante ! Tous les pays sont aujourd’hui lancés dans la course aux nanotechnologies, présentées comme un progrès scientifique incontournable. L’enjeu financier est dément. L’important retour sur investissement des nanos sur les marchés est doublé d’un effet d’aubaine lié aux généreuses subventions publiques. Tout cela en pleine période de restriction budgétaire...

In fine ce sont les plus grandes multinationales qui bénéficient de cet argent public, par le jeu de leurs filiales et des laboratoires de recherche avec lesquelles elles travaillent. Mc Donalds, Danone, Kellog’s, Nestlé, Mars, pour ne citer que les groupes les plus connus, profitent de cette course folle dans laquelle les États et les collectivités locales sont devenus eux-mêmes investisseurs. Les lobbies industriels obtiennent ce qu’ils veulent en faisant croire que ce sont les nanotechnologies qui vont assurer notre compétitivité internationale et les emplois de demain.


Les décideurs politiques décident très vite avec très peu de recul sur les dossiers. Leur ignorance en santé publique leur fait négliger toute prévention. Lorsque vous leur parlez d’épidémiologie ou de toxicologie, ils sont largués. Le principe de précaution, mis à part chez certains élus écologistes, n’est absolument pas intégré dans leur culture. Ils sont sous l’effet permanent de lobbyistes et de think tanks qui leur font croire que si l’on applique le principe de précaution, l’économie française sera paralysée... Les décideurs politiques croient que les craintes sanitaires relèvent du domaine de l’irrationnel et des émotions populaires. Le niveau de culture en santé publique de la plupart d’entre eux est nul et ils ne voient donc dans la prévention qu’une source de dépenses inutiles.

La course aux nanos recèle un aspect moins connu : les enjeux militaires... Avec quelles visées ?

Tous les pays riches – États-Unis, Japon, Chine, Europe, y compris la France… – sont impliqués dans la course aux nano-armements. Outre l’exemple de la nano-libellule, dont l’armée française veut équiper les fantassins pour pister les ennemis, les nanotechnologies permettent de perfectionner les armes, d'accroître leur légèreté, leur robustesse, leur puissance de destruction, etc. L’armée renforce aussi les alliages des avions, des tanks, les vêtements des soldats.



Les armes chimiques désormais interdites par un traité international sont en passe d’être remplacées par les diffuseurs de nanotoxiques. C’est de la chimie sauf qu’ils ont changé le mot... C’est d’une hypocrisie totale ! D’autant que ces armes, tels que les brouillards nano-chimiques, sont infiniment plus redoutables que les armes chimiques « conventionnelles ». Elles sont déjà expérimentées en laboratoire mais il est très difficile de savoir si l’on en est au stade de la production massive. L’opacité est complète sur les stocks. Les spécialistes militaires que j’ai interrogés sont eux-mêmes très inquiets, notamment sur les usages que des terroristes pourront en faire. Les nanos mettent à la portée de n’importe quel groupe des armes redoutables avec des possibilités de contamination inouïes. Le contenu d’une cuillère à café peut suffire à empoisonner des millions de gens d’un coup.

Que retirez de cette enquête ?

Au début, de la sidération. Puis la certitude que nous devons tous agir pour stopper cette folie. Nous allons laisser à nos enfants ce que l’on peut imaginer de pire. Je n’ai jamais vu un tel abandon devant des produits aussi documentés sur le plan toxicologique. Ce que l’on connaissait dans les années 90 en toxicologie des nanoparticules non produites intentionnellement – les nanoparticules de diesel ou des fumées industrielles par exemple – aurait dû entrainer l’interdiction de la mise sur le marché de nanos non testées. On ne l’a pas fait. Les producteurs affirment que si la substance classique équivalente (non nano) est autorisée, il n’y a pas de raison de refaire des tests. Or, la dimension nano change tout. Nous sommes revenus à la préhistoire de la prévention. Jamais on aurait pu imaginer un tel retour en arrière.



La politique d’évaluation est paralysée face aux nouvelles particules qui continuent d’arriver chaque semaine sur le marché. On voit à quel point les lobbyistes industriels sont capables de neutraliser l’action politique. Ils continuent à dire qu’il n’y a aucune certitude que ce qui se passe en laboratoire se passera dans la réalité. Or, la réalité est plus redoutable : il y a une accumulation d’expositions, de synergies entre les produits, d’effets des petites doses à moyen et long terme. Les gouvernements n’ont tiré aucune leçon des scandales sanitaires précédents, ils n’ont fait qu’apprendre à mieux fuir leur responsabilité au nom de la mondialisation et de la performance.

Comment agir pour que la santé publique ne soit plus une variable d’ajustement ?

Ce qui a été possible pour d’autres substances l’est aussi pour les nanos. Il serait stupide de partir perdant. Parmi les armes à notre disposition, il y a le choix de ce que nous consommons. Si une petite partie seulement des consommateurs refuse des produits contenant des nanos, vous verrez tous les industriels reculer. Il suffit de 5 à 10 % de consommateurs qui évitent des produits pour réduire assez la marge sur laquelle les grands groupes réalisent leurs profits. Au point de rendre les nanos moins rentables que d’autres investissements. Le pouvoir du consommateur est énorme.

Et puisqu’il s’agit d’une compétition internationale, il faut une convention internationale. Nous l’avons obtenue sur le mercure en 2013 grâce à la mobilisation des ONG : environ 150 pays ont signé la convention de Minamata interdisant tous les usages du mercure d’ici 2020. Ce rapport de force sur une substance aussi utilisée était inimaginable il y a quelques années. On peut obtenir une convention sur les nanos et interdire les plus dangereuses. Il faut agir vite. Comme l’a dit récemment le directeur de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Afsset), « dans dix ans il sera trop tard ». Réveillons-nous ! Plus je prends conscience de l’énormité du problème, plus je vois la nécessité de refuser ces nanos en bloc. C’est ce que préconise d’ailleurs l’association Pièces et Main d’œuvre, qui rappelle que les nanos sont un marché imposé par des géants économiques au mépris de la démocratie et du vivant.

Pollution organisé ~ Composition des chemtrails



POLLUTION ORGANISÉ ~ COMPOSITION DES CHEMTRAILS

Chemtrails : Que ce passe t-il au dessus de nos tetes ? Preuves accablantes!


POLUTION A L ALUMINIUM / NANOTECHNOLOGIE.

Composition des chemtrails :

Etude faite d’après les nombreuses analyses des échantillons de résidus de CT (Chemtrails) disponibles, les substances evoquées ont été recueillies par le site : http://www.carnicom.com/bio.htm

Éthylène Dibromide (Dibrométhane):

Banni en 1984 par l’EPA, l’EDB (C2H4BR2) est un additif de pétrole cancérigène et un insecticide avec une odeur de chloroforme. On prétend qu’il est semblable à l’iodure d’argent employé pour l’ensemencement des nuages et la modification du climat. Quand on l’absorbe, l’EDB cause la dépression du système nerveux central et l’oedème pulmonaire.
Les symptômes de l’oedème pulmonaire sont: l’essoufflement, l’anxiété, respiration avec un sifflement et la toux. C’est un produit hautement irritable pour les muqueuses et les voies respiratoires.

Le Pseudomonas aeruginosa:


Bactérie très répandue et très résistante qui se trouve dans la poussière. Les souches naturelles ont été trouvées responsables de la contamination des hôpitaux et de l’eau potable. Lorsque inhalée par ceux qui souffrent d’une déficience du système immunitaire, tels que les victimes de la fibrose kystique, cette bactérie forme des amas de mucus appelés bio-films qui sont de véritables barrières infranchissables empêchant les défenses immunitaires et les antibiotiques d’agir.

Le Enterobacteriaceae:

Ce produit comprend la E. Coli et Salmonelle qui sont responsables des cas d’empoisonnement. Le plus intéressant dans la famille des entérobactériaceae est le Klebsiella genus dont l’espèce est responsable des infections causant la pneumonie.

Serratia marcescens:

Un dangereux pathogène qui peut causer la pneumonie. La documentation nous indique qu’une des plus grandes expériences militaires implique l’emploi du Serratia marcescens lors d’un épandage sur San Francisco.
Les militaires répandirent ce produit sur la population pour tester l’efficacité d’une attaque bio-terroriste. Il s’ensuivit une épidémie de pneumonies qui tua un homme et qui augmenta les infections pulmonaires de 5 à 10 fois.

Streptomyces:

Les streptomycetes sont employées pour produire la majorité des antibiotiques employés en médecine générale et en médecine vétérinaire ainsi qu’en agriculture en tant qu’agents anti-parasitaires, herbicides et métabolites pharmacologiquement actifs.

Un enzyme restrictif:

Employé en laboratoire de recherche pour blesser et fusionner l’ADN. Cette enzyme fend et ouvre l’ADN et permet d’y insérer les segments désirés avant d’être réorganisé.
Autres bactéries et moisissures toxiques capables de provoquer une maladie de coeur, l’encéphalite, la méningite, ainsi que des problèmes respiratoires et gastro-intestinaux aigus.
Aucun virus n’est listé ci-dessus. C’est parce que les virus sont difficiles à détecter en laboratoire, encore moins à identifier. Néanmoins, la plupart des maladies résultantes ne répondent pas aux antibiotiques, suggérant que leurs causes sont en réalité virales.

De ce que la documentation nous dit, les gouvernements du monde entier sont impliqués dans des épandages agressifs d’agents à effets biologiques sur la population. Il est évident que le gouvernement est impliqué directement ou indirectement puisqu’il est responsable du traffic aérien.
Ils risquent beaucoup en faisant l’épandage durant la journée afin d’affecter le plus de personnes possible alors que celles-ci peuvent les apercevoir par en-dessous.

Altération et incorporation d’ADN …
Il est concevable que nous puissions être infecté soit par une bactérie ou par un virus et que nous en soyons malade. Pendant ce temps, la bactérie ou le virus va altérer lentement notre ADN avant d’être anéanti par notre système immunitaire. Après que la maladie a été éliminée, les cellules altérées restent et continuent de se reproduire.
Quelquefois, elles deviennent cancéreuses si le gène porteur est à l’état brut et défectueux.
Comme il est mentionné, les CT contiennent des agents biologiques manipulés qui rendent les gens malades. Est-ce que cela ne suppose t-il pas une tentative internationale, par ceux qui sont responsables des programmes de CT, d’exécuter une thérapie génétique massive sur la population.

Pilotes, scientifiques et docteurs dénoncent les Chemtrails en Californie

Bien des spécialistes des chemtrails aux États-Unis ne se posent plus la question de savoir si ces trainées blanchâtre contiennent ou pas des substances toxiques car ils ont largement dépassé ce stade. Ils savent aujourd’hui de manière formelle ce que contiennent les chemtrails. Leur problème est bien ailleurs.

Ce sont les conséquences désastreuses constatées depuis quelques années. En effet le largage de mégatonnes de poussières composées d’aluminium sensées freiner les rayons du soleil associées entre autre à du magnésium, sont en train de modifier en profondeur le PH de la terre, la rendant toxique pour les plantes.

Le PH ( Potentiel Hydrogène ) normalement légèrement acide de la terre s’est transformé en PH Neutre dans bien des régions des États-Unis. Cela a modifié profondément l’équilibre des micro-organismes inhérent à la bonne santé du sol. Par conséquent de nombreuses plantes et arbres meurent ainsi que de nombreuses espèces animales.

La paix soit avec vous.

Qu'est-ce que le cerveau "Reptilien"? (Serpent de la Genèse)

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Le serpent de la Genèse

Qu'est-ce que le cerveau "Reptilien"?




A l’aube d’un 3eme Millénaire où par nos progrès techniques et culturels, le bonheur pourrait s’étendre à la terre entière, mais l’Humanité complètement déboussolée s’enferre de plus en plus dans une multitude de combats meurtriers. Les Hommes, paniqués, apeurés font preuve d’un comportement, égoïste, pusillanime ou belliqueux, d’un temps que l’on croyait à jamais révolu ! Qu’il est donc consternant de constater qu’à notre époque, ce sont encore : la force, la peur ou l’agressivité qui dirigent le Monde.



L’Homme est resté un animal sauvage !


Ce constat confirme la théorie d’A. KOESTLER, qui partant du principe qu’au cours de son évolution l’espèce humaine a acquis trois cerveaux, du plus primitif au plus sophistiqué, aboutit à une conclusion terrifiante : L’Homme est resté un animal sauvage !


Cette partie de notre cerveau comprend le tronc cérébral, le cerveau médian, les ganglions de base et le système d’activation du réseau des fibres nerveuses responsables de la coordination des fonctions de base. Dirigé par l’instinct, ce cerveau contient le savoir ancestral de l’espèce et une partie du système involontaire. Ce cerveau est obsédé, uniquement, par sa propre survivance et non par celle de l’individu , par le contenu et non le contenant et que ce qui loge dans nos têtes est 100% emprunté à la société , donc notre mémoire n’est que le reflet de cette inconscience.Peu de gens vivent réellement en toute conscience de leur vrai être.



Des besoins artificiels :


La société de consommation que l’on peut qualifier de secte a créer des besoins artificiels qu’elle programme dès la petite enfance dans nos cerveaux ou du moins la partie la plus primitive de nos cerveaux qu’on nomme “cerveau reptilien” et cela est générateur d’une violence sans cesse croissante.

Comme tous ces besoins ne sont pas réalisables pour tout le monde , il en découle de la frustration et de la violence. Comme tout idéal tatoué dans notre tête nous fait vivre dans le futur illusoire, éloigné du joyau de l’instant présent.


Tant que l’on ne se connait pas on ne se possède pas. On cherche, donc, à posséder les choses, les titres et diplômes ainsi que les autres individus pour être fidèle aux conditionnements de son cerveaux.

En cela on peut dire que le cerveau reptilien primitif n’est pas vraiment le siège de notre personnalité profonde mais uniquement de l’absence de personnalité, d’un être qui agirait de façon automatisé.


La communication coupé :


La violence naît quand nous n’avons plus de moyens de communication avec autrui, quand nous vivons juste pour satisfaire nos besoins les plus primitifs…

Le contrôle des moyens de communication dans la société moderne engendre la création d’un canal unique et coupe du coup la communication avec autrui. Les influx de communication sont répétés comme dans les spots publicitaires et font appel aux instincts primaires du cerveau reptilien (instinct de reproduction, instinct de nutrition, instinct de conservation) quand il n’utilisent pas les techniques subliminales…


Le président de la première chaîne commerciale française (TF1) n’a t il pas publiquement soutenu que son métier consiste à ” vendre à Coca-cola, par exemple, du temps de cerveau humain disponible “. Une mission de décervelage, en somme. Or, le mot le plus scandaleux de cet aveu ne réside ni dans l’expression ” cerveau disponible ” ni dans le verbe ” vendre “, mais dans le qualificatif ” humain “, apparemment anodin… cela voudrait il dire qu’il y aurait un cerveau “non-humain” ?



Le Paléo-Cortex (Le cerveau reptilien)


Notre premier cerveau, le ’Paléo-Cortex’, dit ’cerveau reptilien’, est le siège de nos instincts les plus primaires, la conservation et la reproduction de l’espèce, la faim, la soif, la colère, la peur, les pulsions, etc…. La particularité principale de ce ’cerveau archaïque’. Il est appelé le cerveau primaire ou primitif ou encore cerveau archaïque. 



Les êtres humains avaient à l’origine, essentiellement un premier cerveau reptilien dont l’homme conserve encore bien des instincts de base (dont l’instinct de conservation). Il correspond chez l’être humain aux systèmes nerveux du tronc cérébral. Il est malgré sa petite taille d’une grande complexité. Certains animaux (vertébrés inférieurs, reptiles…) sont régis uniquement par ce cerveau. Il est la source des comportements primitifs qui répondent à des besoins fondamentaux. Il assure entre autre la sauvegarde de l’individu et de l’espèce. Ces comportements sont incapables d’adaptation et restent insensibles à l’expérience du fait que le cerveau primitif n’a accès qu’à une mémoire à court terme. Sa particularité est d’être ’pré-programmé’ une fois pour toute, selon les espèces et les individus. Il lui est donc totalement impossible de s’adapter, d’évoluer ou de se perfectionner et permet uniquement des actions automatisés.



Le cerveau reptilien agit toujours selon des schémas rigides et stéréotypés : une même stimulation produira toujours le même effet. Par exemple, conservée depuis des générations, la fuite inscrite héréditairement dans chaque individu, est un mécanisme nécessaire, imparable, stéréotypé. Le noyau dit ” amygdalien ” en particulier commande l’agressivité, le souci du territoire et de sa défense. Il correspond à notre univers non-verbal de gestes et comportements automatiques. Il est le lieu de la routine, des itinéraires fixés à l’avance, des rituels, cérémonies….De ce fait, le ” langage reptilien ” est essentiel dans les relations humaines mais ses codes sont très rechercher lorsque l’on cherche à programmer un individus, à le conditionner.



Le Méso-Cortex (Le cerveau limbique)


Le second, le ’Méso-Cortex’, le ’cerveau limbique’ , est le siège de nos émotions, de nos sentiments et de nos croyances. Il peut, lui, se modifier lentement, s’adapter et évoluer.



le Néo-Cortex (notre cerveau supérieur)


Le plus “récent”, en terme d’évolution, le ’Néo-Cortex’, notre cerveau supérieur, est celui des Hommes d’aujourd’hui. C’est le siège de l’intelligence, de la mémoire, du raisonnement et de toutes nos facultés cognitives. Lui par contre, peut évoluer et se développer de façon fantastique. C’est lui, qui génère les progrès scientifiques et techniques qui font avancer l’Humanité, en mettant à la disposition des Hommes, des moyens de plus en plus perfectionnés. Et malheureusement aussi, des armes de plus en plus sophistiquées et meurtrières.



Cela est très inquiétant, car l’on comprend que les plus grandes découvertes, mais aussi les plus monstrueux moyens de destruction inventés par le ’cerveau Intelligent’ des Hommes, sont à l’entière disposition des instincts les plus primitifs de leur ’cerveau reptilien’. Un ’cerveau archaïque’, comme celui que possèdent encore les reptiles, les crocodiles et autres batraciens, et dont la dimension dépasse à peine celle d’un gros pois chiche, !



On peut le représenter comme le cœur fondamental du système nerveux et il dérive d’une forme d’hybride mammifère -reptile qui se sont largement différenciés sur la terre mais qui ont disparu pendant le Ternaire avoir fourni le chaînon d’évolution entre dinosaures et mammifères. 



Tous les mammifères modernes ont donc ce complexe reptilien et cela inclus bien sur les humains. 



Les comportements récurrents des être humains sous l’emprise de cette forme archaïque de système nerveux sont une lutte incessante pour la domination, débouchant généralement sur une forme exacerbée d’agressivité. Le pouvoir acquis est exercé de façon tyrannique. 



Mais dans la défaite il y a une déception chronique quasi paralysante et une incapacité à remonter la pente Dans les comportements humains le cerveau reptilien donne lieu à l’obsession, les comportement compulsifs en tous genre ; la nécessité de soumission à des actes personnels quotidiens, rituels et superstitieux, le référent constant à l’autorité, la conformation à de vieilles manières de faire des choses ; les cérémonials, la nécessité d’agir dans un cadre légal, religieux, culturel, traditionnel et répondant aux représentations usuelles. 



Les humains agissant ou réagissant par leur cerveau reptilien sont des être incapable d’agir par eux même et donc facilement contrôlable. Etant incapable d’une quelconque action personnel car dénué de toute initiative par peur ou incapacité d’extrapolation consciente, il sont constamment à la recherche d’un référent externe ce qui les rends facilement insérable dans des structures pyramidales. Lesquelles accommodent fort bien de toute forme d’autorité et de techniques de manipulations. 



Des études ont montrée que les ondes cérébrales émise lors de visionnage de film ou de télévision s’apparente aux ondes émises pendant le rêve. Et devinez où le rêve prend sa source ? dans le cerveau reptilien.



Le flux continuel d’images interrompt et empêche la communication et la réflexion. L’incessant déversement de programmes suscite une adhésion immédiate, qui génère le silence. Marie-José Mondain explique ce processus : “Quand on est privé de la possibilité de faire la différence entre ce qu’on voit et ce que l’on est, la seule issue est l’identification massive, c’est-à-dire la régression et la soumission”. Le langage du cerveau reptilien est l’imagerie mentale. Le lien qui unit le/la téléspectateur/trice à son téléviseur est de nature hypnotique. Regarder cette lucarne bleutée met en sommeil l’intellect (le Néo Cortex), ramollit physiquement, et contrairement à ce que l’on pense communément, ne repose pas du tout. Elle fonctionne comme un anesthésiant dont on dépend très rapidement. Le téléspectateur ou la téléspectatrice perd sa capacité, son pouvoir personnel de réflexion. Tout ce qui touche au besoins comme la nutrition ou la sexualité son vécu sur le mode compulsif, c’est à dire incluant soit des phénomènes d’agressivité et/ou de répétition ritualisée. 



Nous demandons à la télé de nous mettre dans un état de “relaxation” (en fait de “déconnexion du néo-coretex” qui permet sans bouger de chez nous et sans avoir à faire face à l’horrible monde et aux horribles “autres”, de vivre ensemble séparément, d’avoir “le monde chez soi”. 



Les comportements reptiliens ne sont qu’une réponse instinctive inhérentes aux notions de territorialité, de défense ou d’attaque et d’appartenance.




Incidence sur nos comportements


Quel est l’incidence sur nos comportements ? Il n’y a qu’à faire une analogie avec le comportement des reptile comme le lézard. Si on le tracasse il se cache dans un trou du mur. Chacun aime  avoir son coin à lui où se réfugier lorsqu’on l’agace. Le lézard fuit devant le danger mais si on lui marche sur la queue il se retourne et mord : que faites-vous si on vous marche sur les pieds ? C’est le cerveau “action-réaction”.



Le cerveau reptilien c’est le cerveau des habitudes et de la survie : équilibre biologique certes mais aussi survie psychologique. Quand on n’a “plus rien à perdre”, quand on est “poussé à bout”, il sort. Et les paroles mordent : les mots causent des maux. (la “langue de vipère”)

Il faut donc faire attention à ne pas faire sortir le serpent de l’autre et à ne pas être soi-même serpent mortel pour les autres.
Mais l’appartenance à un monde virtualisé ou la notion de responsabilité personnelle est sublimée derrière la déresponsabilisation, un monde ou l’on s’abrite de plus en plus vers des règles collective pour déléguer la responsabilité inhérente au choix du cerveau pensant le néo-cortex. Il n’y a qu’a voir également la déresponsabilisation induite, véhiculée par les jeux vidéos violents. Le cerveau reptilien a besoin de ce monde virtuel pour exister et certains l’ont bien compris…


Ce cerveau primitif de reptile entraîne des comportements stéréotypés, pré-programmés. Une même situation, un même stimulus, entraînera toujours la même réponse. Cette réponse est immédiate, semblable à un réflexe.

Et cela, l’industrie de la pub la bien compris.


Elle n’a pas tarder à tirer profit des découvertes les plus récentes en neurologie pour fonder ce qu’ils appelle le “neuromarketing” ou méthodes qui permettent de connaitre par l’imagerie  et l’étude du cerveau les décisions et comportements d’achat des individus.



«La publicité veut essentiellement influer sur les décisions”, expliquent ils sur le site lapresseaffaires.cyberpresse.ca. “On sait maintenant quelles sont les régions du cerveau qui s’animent dans certaines conditions. Essentiellement, nous lisons les revues médicales pour connaître les derniers progrès en neurologie. L’une des grandes découvertes est que les décisions sont souvent dirigées par la partie la plus primitive du cerveau, la partie reptilienne. Nous avons mis au point un langage qui essaie de traduire plus concrètement les propositions publicitaires pour le cerveau reptilien.»



Selon ces gourous du neuro-marketing, il existe six «codes» qui permettent d’atteindre plus efficacement ce cerveau reptilien.



  • Il est extraordinairement égoïste. 
  • L’important est l’impact que le produit ou l’entreprise aura sur le sujet. 
  • Il est attentif à ce qui est différent, en rupture. Il faut donc multiplier les contrastes visuels et sonores. 
  • Il est attentif au début et à la fin des messages mais perd de l’intérêt au milieu, afin de limiter ses dépenses énergétiques. 
  • Il est sensible aux émotions extrêmes, positives comme négatives.
  • Et le cerveau reptilien est plutôt visuel, parce qu’il est connecté directement au nerf optique.»



En conclusion de cette étude on peut dire que les comportements induits par le cerveau reptilien ne peuvent évoluer avec l’expérience, ne peuvent s’adapter à une situation, car ce cerveau n’a qu’une mémoire à court terme. Le cerveau reptilien est la base de la programmation mentale de l’individu agissant sur le mode compulsif, ou sous l’influence d’injonction de peur…

La méconnaissance de ce sujet fait que l’on assiste souvent dans notre société dite évolué à des régressions comportementales sans en comprendre la cause profonde ni la signification…




La paix soit avec vous



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